Comprendre les enjeux de la solidarité internationale (SI)

La SI (Solidarité Internationale) c'est...

S'engager dans la solidarité internationale ici ou ailleurs

le volontariat se vit à plein temps, sur une période déterminée. En échange, les besoins quotidiens du·de la volontaire (hébergement, alimentation) sont pris en charge par l’association d’accueil. De plus en plus, cette prise en charge a évolué en paiement d’une indemnité mensuelle et d’une couverture sociale.

Le ou la bénévole ou militant·e est une personne qui s’investit dans des associations, régulièrement ou occasionnellement, en France ou à l’étranger. Il·elle ne change pas de statut et reste étudiant·e, salarié·e, retraité·e…

Les projets pour lesquels s’engager sont multiples et les formes d’engagement également.

Les chantiers de jeunes sont des séjours courts (2 à 4 semaines) organisés en France ou à l’étranger par une structure à but non lucratif. Ils permettent à des jeunes de différents pays de participer à une expérience de développement local (reconstruction, création d’un sentier de découverte…) en groupe, tout en découvrant d’autres cultures.

Les congés de solidarité ont pour vocation de permettre l’engagement des salarié·es, en lien avec leurs compétences professionnelles.

Interroger ses motivations pour agir éthique

Monter un projet de solidarité internationale suppose faire le point sur l’ampleur de sa motivation, ses connaissances, ses compétences, ses lacunes, sa disponibilité réelle, son réseau de relations utiles, sur ce qui existe déjà dans le domaine mais aussi et surtout sur les attentes de celles et ceux que l’on veut aider.

Il convient d’être réaliste et patient·e quand on veut s’engager sérieusement dans ce type d’action : développer un partenariat, mobiliser les différents acteur·rices, mettre en place le projet, trouver des financements, cela prend du temps et de l’énergie.

Page co-construite avec le CICODES, le CRIDEV, le Résia, la MIR, JTM, Xylm et RBS

Mise en ligne – juillet 2024

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